Réverie aprés le repas

Elysée était assise sur un banc de la cour céleste, la tête rabattue en arrière, ver le ciel. Elle observait la course des nuages.

Elle se sentait un peu seule, mais elle avait du mal a se faire des amis parmi le M ... Ils était souvent trop ... hautain.

Enfin seul, John était enfin seul...lui qui ne supportait pas d'être entouré passait ses journées à essayer de retrouver cette sensation qui le calmait : la solitude.

Il se baladait tranquillement, et il finit par arriver à la cour. Il pensait pouvoir s'y retrouver seul pour faire le point quand...

*Oh nooon...y'a déjà quelqu'un...*

John voulût faire demi-tour sans bruit, pour ne pas se faire remarquer, mais il se retourna un peu trop viollement, et son sac, avec la force centrifuge, lui frappa le bras gauche. Il le lacha et se tint le bras...en effet, malgré le magie qui l'entourait continuellement, les objets appartenant à John et qui'il touchait pouvaient lui toucher le bras, et tout contact était douloureux...

Le problème venait du fait que quand le sac est tombé, il fit un sacré bruit, surtout dans cette cour vide...

Elisée sursauta. Le bruit du sac l'avait surprise. Elle observa le jeune homme qui rammassait ses affaires. Elle lui dit:

" Ca va ? "

*Eeeeet me*de...*

"Merci, ça va...je vais juste...ramasser mes affaires et...et partir. C'est ça, je vais partir et te laisser tranquille, je veux pas te déranger..."

Jonathan essayait de ranger ses affaires éparpillées, tout en essayant de cacher son bras emmailloté dans ses éternels bandages, et ce n'était pas vraiment une mince affaire...il fit tomber ses livres plusieurs fois avant de parvenir enfin à fermer son sac...quand il se rendit compte qu'il en avait oublié deux...

Elisée s'est levée pendant qu'il rengeait ses livres. Elle lui tendit les deux qu'il avait oublié et lui dit:

" Tu peut rester je m'en vait. Tu a quoi au bras ? "

En la voyant à côté de lui, John essaya de prendre son attitude calme et décontractée. Il adopta un petit sourire de circonstance...

*John, t'es pas très crédible sur ce coup là...je fais quoi moi maintenant...*

"Non, ne pars pas...je ne voulais pas te déranger. Retournons nous asseoir, je commençais à me sentir un peu seul justement..."

Jonathan ne comprenait absolument pas comment il avait pu avoir cette idée complètement débile...mais maintenant qu'elle était lancée...

"Mon bras ? Mon bras...c'est une longue histoire...et je ne suis pas sûre que tu veuilles la connaître...ni que tu veuilles le voir..."

Puis il prit les livres et se dirigea vers le banc en disant à Elysée :

"Allez, viens...à ce qu'il parrait, la solitude, c'est meilleur à deux..."

Elisée hésita à partir tout de même, mais ce mec l'intrigait. Elle s'assit en amazone sur le banc pour étre face à lui et lui dit:

" Tu n'a aucune idée de ce que mes yeux ont pu voir, ou de ce que mes oreilles ont pu entendre ... Essaye de me résumer. "

" Tu n'a aucune idée de ce que mes yeux ont pu voir, ou de ce que mes oreilles ont pu entendre ... Essaye de me résumer. "

Cette fille semblait ne pas avoir eu un passé facile elle non plus...mais Jonathan était-il prêt à raconter son histoire...

Il regarda Elysée pendant un long moment, hésitant...puis il se décidé à bouger.
Il s'assit sur le banc et lui dit :

"Je veux bien te montrer ma main, mais pas longtemps, ça pourrait devenir dangereux pour moi, et tu ne dois absolument pas la toucher...ça par contre, c'est pour ta sécurité, pas poour moi..."

Puis Jonathan posa son bras sur ses jambes, et défit le bandage progressivement, lantement, pour ne pas se faire trop mal.
Quand le bandage fut retirté de la main du jeune homme apparu sous les yeux de la jeune fille une main brûlée au troisième degré, et repliée à cause des tendons qui avaient étaient laisés par la décharge, il y a des années.

John dit alors :

"Voilà...c'est ça que je cache...c'est ça qui dirige ma vie..."

Elysée regarda la main du mec d'un air froid. Comparé a ce qu'elle avait vu en enfer, c'était assez banal. Elle était un peu décue
Elle se leva et se dirigea vers la sortie en disant

" Tu est bien Théâtral pour seulement une mains brulée ... Je te laisse faut que je passe a CDI. "

Sur ce elle quitta la Cour Céleste.

Quartier des L, CDI